Agrément vélo – samedi 12 mars

veloLe cycle vélo commencera aux beaux jours pour les CP et les CE1. Il comprend des séances à l’école et une sortie de fin d’année à la forêt de Bouconne.

Pour encadrer cette sortie, la présence de parents agréés est indispensable. La prochaine session a lieu samedi 12 mars entre 9h et 12h à l’école George Sand.

L’agrément est une réunion de formation (3heures environ), animée par des conseillers pédagogiques, avec une partie théorique et une partie pratique.

La partie théorique comprend une information sur la réglementation en vigueur dans le premier degré ; le rôle de chacun des adultes participant à l’encadrement ; la sécurité des élèves ; les bases d’une progression dans l’apprentissage des élèves.

La partie pratique (sur route et sur circuit) comprend un test vérifiant votre aisance à vélo sur un parcours ; la découverte de quelques situations proposées aux élèves.

Vous pouvez vous inscrire auprès de l’enseignant de votre enfant. Pensez à vous munir de votre vélo et de votre casque.

D’autres dates seront proposées fin mars et début avril.

L’équipe API

INFO : Préavis de grève périscolaire mercredi 9/03

Mise à jour mardi 8 – 13h

Les directeurs des ALAE maternelle et élémentaire ont annoncé qu’un mouvement de grève était prévu mercredi (les enseignants ne seraient pas concernés).

Les accueils ALAE en maternelle et élémentaire pour le matin, la garderie entre 11h10 et 12h et le centre de loisirs du Cabirol sont maintenus comme d’habitude sur notre groupe scolaire (ce n’est pas le cas dans les autres écoles, notamment celles qui dépendent du centre de loisirs Savary, qui sera fermé).

En maternelle, les ATSEM sont grévistes.

Une information sera transmise aux familles ce soir.

L’équipe API

 

Bourse aux livres (11/03/16)

L’éqlivre2uipe API organise la 4e édition de la bourse aux livres du groupe scolaire.

Entre le lundi 7 et le jeudi 10 mars, vous pouvez déposer vos livres pour enfants de 1 à 11 ans (roman, album, poche, documentaire, comptine, imagier, BD…) dans les bacs disposés dans les halls des écoles.

Le vendredi 11 mars, entre 16h et 18h, venez acheter de nouveaux titres, à tout petit prix: 0,5€, 1€, 1,5€, 2€ maximum.

Cette opération est destinée à faciliter l’accès aux livres pour toutes les familles… Les bénéfices seront versés aux coopératives scolaires pour aider au financement des sorties et projets pédagogiques. Profitez des vacances pour faire le tri, et donner les titres lus et relus !

L’équipe API

PS: pour les livres adultes, nous étudions un potentiel « débouché » dans les prochains mois… à suivre !

AVS : un métier indispensable et mal-connu

20150311111550-logo_handicapsNous avons rencontré 2 AVS (Auxiliaires de Vie Scolaire), affectées à l’accompagnement de 4 enfants en situation de handicap dans les écoles de Colomiers, pour mieux connaître leur métier et ses enjeux.

Quelles sont vos missions, votre rôle par rapport à l’élève, à l’enseignant, à la famille ?

Notre mission est d’accompagner un enfant en situation de handicap, identifié par la Maison Départementale des Personnes Handicapées. Suite à l’étude du dossier soumis par les familles, cette administration préconise un nombre d’heures d’accompagnement : entre 6h et 18h hebdomadaires. Les élèves bénéficiant d’un PPS (projet personnel de scolarité) sont aussi éligibles à cet accompagnement. Les « handicaps » peuvent être des troubles de l’apprentissage (ex : dyslexie, dysorthographie), de l’attention (ex : hyperactivité), ou fonctionnels (ex : déplacement en fauteuil roulant).

Les enfants peuvent avoir entre 3 et 20 ans, et être élèves de maternelle, comme de BTS… Il est arrivé à des collègues de « passer » le baccalauréat avec l’élève qu’elles accompagnent !

– Nous ne devons pas nous substituer à l’enseignant : il est le responsable de toute la classe, enfant suivi y compris. L’AVS est plutôt une collègue, accueillie par l’équipe éducative de manière informelle, même si cette démarche est obligatoire dans les textes. En pratique, l’école bourdonne d’intervenants « extérieurs », et il n’est pas toujours facile de prendre le temps de rencontrer chacun ! Un rapport de confiance s’établit avec l’enseignant. Il peut être enthousiasmé de la présence d’un adulte/relais, mais aussi réfractaire s’il craint des interventions intempestives. Il faut donc savoir garder le silence, et sa place : celle d’accompagnant de l’élève.

– Les classes sont souvent soulagées à notre arrivée, car elle dénoue des tensions qui s’accumulent autour d’un enfant qui a besoin d’aide, et dont les attentes sont supportées par le collectif avant notre nomination.

– L’interlocuteur des familles des élèves de la classe est l’enseignant. En théorie, nous n’avons donc aucun contact avec les familles : les enfants suivis sont en « inclusion scolaire ». De même, les dossiers médicaux ne nous sont pas transmis : ils sont confidentiels. Cela permet d’avoir un abord « neutre » de l’enfant, sans s’alourdir de préjugés ; mais cela ne facilite pas toujours la prise en charge, car nous devons découvrir et apprivoiser la difficulté/handicap/déficience « sur le terrain ». Il faut être souple et à l’écoute !

Pouvez-vous nous donner des exemples de tâches ou interventions au quotidien ?

Nous pouvons être amenées à reformuler des consignes (avec discrétion !), quand l’élève fatigue et perd sa concentration. Nous pouvons assurer la prise de notes pour privilégier pour l’élève l’écoute et la participation orale. Nous le ramenons verbalement vers le travail et la classe quand il est distrait, pour le reconnecter avec l’apprentissage. Nous l’aidons dans l’organisation des outils de travail : ranger les fiches dans les classeurs, prévoir les cahiers dans son cartable… Nous vérifions la notation des devoirs.

Mais nous devons veiller à ne pas nous substituer à l’élève, faire à sa place, faire « mieux ». Il reste un élève qui apprend à son rythme, et nous ne sommes pas des « précepteurs ».

Quelles sont, selon vous, les compétences et les qualités requises pour exercer ce métier ?

Il vaut mieux être patient, avoir de grandes capacités d’adaptation, avoir du bon sens. On a déjà parlé de la discrétion et de l’écoute. Et une empathie naturelle favorise la création du lien avec l’élève. Au niveau des compétences, le recrutement se fait avec un niveau bac, mais au quotidien, aucune connaissance appliquée n’est requise.

Avez-vous un avis sur l’évolution du métier ?

Le statut des AVS est précaire : ce métier était en voie de professionnalisation en 2005, mais les réductions budgétaires nationales ont stoppé net cette évolution. Nos contrats sont des CUI, des contrats aidés d’un an renouvelables seulement une fois. Au mieux, certaines AVS deviennent des AESH (Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap), dépendant du rectorat.

L’enveloppe horaire est réduite, elle correspond à un mi-temps : il est donc difficile d’en vivre. En même temps, il faut pouvoir rester disponible toute la semaine sur le créneau 8h30-17h, car notre emploi du temps peut changer en cours d’année.

Nous avons des formations : 30h sur la prise en charge, avec des options spécifiques selon le profil des enfants ; et 30h sur la reconversion, puisque notre contrat est limité.

Le rectorat et les AVS déplorent cette situation. L’administration comme les équipes connaissent les besoins : ils ne cessent de croître au fur et à mesure que la connaissance médicale et psychologique des troubles s’affine. De plus en plus d’enfants auraient besoin d’aide, et hélas, les moyens mis en oeuvre ne sont pas à la hauteur.

Ce métier peut devenir une vocation, et il est dommage que l’expérience acquise par certaines AVS ne soit pas mieux exploitée ; on pourrait imaginer un tutorat entre les « anciennes » et les nouvelles.

On aimerait aussi parfois pouvoir suivre sur toute sa scolarité un enfant qu’on a appris à connaître à force de temps, plutôt que de le savoir repartir de 0 avec une autre AVS tous les 2 ans… Certains enfants mettent beaucoup de temps à s’ouvrir et faire confiance. Notre rôle est primordial pour leur permettre un quotidien à l’école apaisé et efficace… L’école est obligatoire pour tous, mais tous les élèves ne sont pas égaux dans les apprentissages !

Merci à nos interlocutrices pour leur collaboration et leur confiance. Nous leur souhaitons une bonne continuation auprès des enfants qu’elles accompagnent avec enthousiasme…

L.V.

Lien MDPH-31 : http://www.mdph31.fr/

Lien collectif AVS 31 : https://avsencolere.wordpress.com/

Non-remplacement des enseignants absents

Vendredi 19 février, la maternelle a vécu une situation exceptionnelle : 3 enseignantes sur 6 étaient malades. Aucun remplaçant n’a pu être affecté à l’école… faute d’équipe suffisante.

La directrice, Mme Massarelli, a tenu à remercier les familles qui ont fait preuve de compréhension et de solidarité, en récupérant à la maison leurs enfants, dans la mesure du possible. « Seulement » 78 élèves (sur 154) ont donc passé une journée un peu particulière, hors classes, sous la surveillance des ATSEM et des 3 enseignantes présentes. En fin de journée heureusement, le Carnaval a pu se dérouler dans la bonne humeur, et les vacances arrivaient à point nommé.

Depuis plusieurs années, les restrictions budgétaires qui affectent l’Education nationale entraînent l’absence de recrutement et le non-renouvellement des départs en retraite d’enseignants pour les remplacements de courte durée (ZIL) et longue durée (brigade). Des enseignants ZIL sont parfois présents sur des remplacements longue-durée, et il s’ensuit un déficit de remplaçants pour les courtes durées… Mais les enseignants-brigades, affectés par le Rectorat, ne sont pas assez nombreux non plus pour la circonscription de Colomiers, la plus grande de l’Académie !

Ainsi en élémentaire, une classe de CM1 subit une valse de remplacements depuis le début de l’année scolaire. Les délégués des parents d’élèves FCPE et API ont déjà alerté en décembre l’Inspecteur de circonscription et le Rectorat sur les effets néfastes d’un tel manque de stabilité pour les élèves. Un nouveau mail leur a été adressé dernièrement, afin que cette classe puisse retrouver à la reprise en mars un cadre serein et propice aux apprentissages, avec un enseignant fixe. C’est une condition indispensable à la réussite scolaire, mission de service public dévolue à l’Education nationale.

L’équipe API

 

Café-parent du Carnaval

Quel soleil radieux pour cette fête de Carnaval ! Ambiance détendue, organisation au cordeau, accompagnement musical joyeux du bandas Bisto des nas, et défilé des enfants déguisés dans toute l’école. Merci aux animateurs des ALAE maternelle et élémentaire, sous la houlette d’un clown et d’un panda (çà ne s’invente pas) pour ce joli moment de partage !

Notre café-parent n’a pas désempli, et Salwa, Virginie et Estelle ont manié avec adresse les pinceaux et crayons, pour dessiner des araignées, des moustaches, des papillons et des fleurs sur des visages souriants.

Merci à tous les parents qui ont partagé avec nous un café !

L’équipe API

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Notre petit stand décoré
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C’est la queue !
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Le bandas et le cortège

A la rencontre de l’UNICEF

Pendant 2 jours, une délégation de l’UNICEF a parcouru la ville de Colomiers, labellisée « ville amie des enfants », afin de recueillir des informations sur les structures mises en place par la municipalité en faveur des enfants.
Dans ce cadre, Mmes Nougoua et Sedletzki ont souhaité rencontrer des représentants des parents d’élèves. J’ai participé à cette rencontre au nom de l’API.
Nous avons pu insister sur le bénéfice des aides aux devoirs dans les maisons citoyennes, la richesse des associations, des équipements sportifs et culturels, l’intérêt du CMJ (Conseil Municipal des Jeunes) et de Parentèle (lieu de rencontre des familles avec enfants de moins de 6 ans).
Nous avons aussi échangé sur l’importance de la mixité sociale dans les écoles.

J’ai apporté un léger bémol en évoquant les restrictions budgétaires des derniers mois, qui entraînent la réduction des équipes ATSEM et d’entretien dans les écoles, la baisse des dotations et la suppression des transports municipaux pour les sorties scolaires.

M. Jacques Reynal, bénévole pour l’UNICEF en Haute-Garonne, a annoncé une prochaine rencontre avec M. l’Inspecteur de circonscription, afin de poser les bases d’un partenariat dans les écoles primaires, pour sensibiliser les élèves aux droits de l’enfant. Nous avons salué cette initiative, qui ne peut que favoriser l’ouverture d’esprit et l’empathie.

L. V.

Voir aussi l’article de La Dépêche : http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/18/2279295-l-unicef-s-inspire-de-la-politique-de-l-enfance.html
Délégation UNICEF en Haute-Garonne : http://unicef31.fr/

Une comédie musicale en élémentaire

IMG_3679L’unique représentation de la comédie musicale Clarisse au pays du swing s’est déroulée hier à l’auditorium Jean Cayrou.
Elle a été conçue et préparée sur les temps ALAE depuis octobre par une quinzaine d’élèves du CE1 au CM2, encadrés par 3 intervenantes du Conservatoire (art plastique, danse, formation musicale).
Inspirés des fables de La Fontaine, des tableaux chantés et dansés sur un fonds d’ombres chinoises ont déroulé les aventures du lièvre et de la tortue, du renard et des raisins, de la grenouille et du boeuf, de la cigale et la fourmi…
Le spectacle a été introduit par Mme Clouscard-Martinato, adjointe chargée de l’éducation, qui a rappelé l’engagement de la mairie dans ce type de partenariat avec les écoles et les ALAE, dans le cadre du PEDT.
Le directeur du Conservatoire, Marc Jamond, a aussi remercié les participants.

De nombreux parents, enseignants et animateurs ont chaleureusement applaudi les artistes en herbe.

L.V.

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L.V.