Voici la 2e lettre d’information que nous rédigeons ; elle reprend certains éléments échangés lors du conseil d’école qui s’est tenu le 16 mars. Ce document a été aussi distribué dans les cahiers des élèves.
Bonne lecture !
L’équipe API
Vous pourrez déposer vos gâteaux à l’école le vendredi 28 avril.
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L’équipe API
Dans le cadre de la semaine de la famille, plusieurs conférences et ateliers sont organisés à destination des parents et enfants : café-famille sur le sommeil (21/04, 18h-19h30, maison citoyenne du Val d’Aran), l’alimentation jusqu’à 6 ans (28/04, 10-11h30, maison citoyenne de la Naspe), les gestes de premiers secours, spectacles… Le programme est disponible ici.
L’équipe API
Dans le cadre de Ciné-regard et en amont de la journée de la non-violence éducative du 30 avril, le Centre de ressources sur la non-violence propose une projection unique du film documentaire Une idée folle de Judith Grumbach (2016) le jeudi 20 avril 2017 à 20h30 au cinéma Central à Colomiers.
La séance sera suivie d’un débat animé par Elizabeth Clerc en présence de Brigitte Pereira, enseignante.
Tourné dans neuf établissements scolaires – publics et privés, de la maternelle au collège, aux quatre coins de la France – Une Idée Folle pose la question du rôle de l’école au XXIe siècle, à travers le témoignage d’enseignants, d’enfants, de parents ainsi que d’experts de l’éducation. À quels défis les citoyens de demain vont-ils devoir faire face et comment les y préparer ? En cultivant l’empathie, la créativité, la coopération, la prise d’initiative ou encore la confiance en soi et l’esprit critique chez les élèves, en parallèle des savoirs fondamentaux, les enseignants de ces écoles font un rêve fou : celui de former une future génération de citoyens épanouis et responsables qui auront à cœur de transformer positivement la société qui les entoure.
L.V.
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L’équipe API
Le mardi 18 avril de 16h10 à 17h20, les enfants, les enseignantes, les ATSEMs et toute l’équipe ALAE présenteront les oeuvres produites à la manière des artistes étudiés ces dernières semaines.
Pour marier le régal des yeux et des papilles, une petite collation sera préparée dans la salle de motricité. Une belle occasion de discuter avec l’équipe, et de découvrir l’école sous un autre regard…
Ce moment convivial est un élément du projet d’école, qui prévoit notamment l’embellissement du cadre de vie scolaire et la construction de parcours à la manière des musées, pour inviter les familles à s’attarder en suivant leur enfant. Celui-ci, pour une fois, est un guide pour ses parents, et valorise son travail à leurs yeux. Depuis 2 ans, deux mises en scènes animent les murs, le sol et le plafond de l’école au cours de l’année, sur des thèmes définis par les enseignantes, et relayés dans les ateliers pédagogiques en classe.
Vivement le 18 avril !
L.V.
Quelques petits rappels pour la sécurité de nos enfants en voiture. Entre ancienne (R44/04) et nouvelle (R129) norme, on s’y perd un peu ! Donc voici un récapitulatif de ce qui doit être fait :
– dos route obligatoire jusqu’à 9kg (ancienne norme) et 15 mois (nouvelle norme)
– rehausseur à dossier autorisé à partir de 15kg (ancienne norme) et 1 mètre (nouvelle norme)
– rehausseur à dossier obligatoire jusqu’ 22kg et 1m26 (nouvelle norme)
– siège adapté obligatoire jusqu’à 10 ans ou 1m35
– un enfant peut voyager à l’avant de la voiture dos à la route si l’airbag se désactive, il est également possible de mettre un enfant devant face à la route si toutes les places à l’arrière sont occupées par des enfants plus jeunes (siège reculé au maximum et airbag activé)
Ça, c’est ce que dit la loi, ensuite il y a les bonnes pratiques et les conseils d’utilisation pour encore plus de sécurité :
– enlever les manteaux/combinaisons des enfants en voiture, en effet leur épaisseur empêche un réglage correct des harnais/bouclier/ceinture, lors d’un accident le blouson est comprimé et le harnais ne joue plus son rôle car il n’est pas ajusté. Plusieurs solutions sont possibles pour que votre enfant n’est pas froid (manteau mis à l’envers une fois l’enfant attaché, poncho mis par-dessus le système d’attache du siège, couverture spéciale avec possibilité de passer les harnais pour les plus petits, couverture à manches ou tout simplement une couverture posée sur l’enfant)
– faire voyager son enfant dos à la route est 5 fois plus sûr que face à la route. Jusqu’à ses 4 ans la tête de votre enfant est très lourde par rapport à sa musculature et il est incapable de la retenir lors d’un choc même à 50km/h, il risque donc de graves blessures en cas d’accident (poids exercé sur la nuque en cas d’accident en face route 300kg, en dos route 50kg). Dans des sièges adaptés au dos à la route votre enfant sera en sécurité confortablement installé et aura assez de place pour ses jambes. Le dos à la route est recommandé jusqu’à 4 ans et au minimum 2 ans
– le cosy/coque est le siège auto le plus adapté aux petits, la plupart sont homologués jusqu’à 13kg, votre enfant peut donc y rester jusqu’à ce poids ou jusqu’à ce que la tête dépasse (le premier des 2), ce n’est pas grave si ses jambes dépassent, ce n’est pas inconfortable pour lui (les jambes pendantes hors du siège en face route sont plus inconfortable).
– ne pas utiliser de nacelle en voiture, en effet la tête de votre enfant n’est pas maintenue sur les côtés et donc partira violemment en avant en cas de choc. Votre bébé doit voyager en cosy, il suffit juste de faire des pauses régulières toutes les 2h pour se dégourdir.
-le rehausseur sans dossier n’est pas recommandé car il ne permet pas un passage correct de la ceinture de sécurité (épaule et hanches), de plus il risque de glisser avec l’enfant sous la ceinture en cas de choc et enfin il ne possède pas de renforts latéraux (qui permettent une protection et une absorption de l’énergie en cas de choc latéral)
-un siège auto a une durée de vie au-delà de laquelle il n’est plus aussi sécuritaire qu’avant (10 ans), et tout siège auto doit être changé en cas de choc supérieur à 10km/h même si l’enfant n’était pas dedans.
C.L.
Depuis le mercredi 22 mars, les enfants doivent obligatoirement se protéger la tête pour pouvoir enfourcher uns vélo. Le port du casque devient obligatoire pour les cyclistes de moins de 12 ans, qu’ils soient au guidon ou simples passagers, sous peine d’une amende de 90 euros pour l’adulte accompagnateur.
La mesure avait été prise lors du Comité interministériel de la sécurité routière en octobre 2015, le décret d’application ayant été publié au Journal officiel en décembre dernier. Il laissait ainsi trois mois aux parents pour s’équiper en casques.
Hausse de la mortalité de 7%
Cette mesure vise également à convaincre les adultes d’adopter à leur tour le port systématique du casque. « C’est une mesure douce, qui a aussi une valeur pédagogique envers les parents », explique au Parisien Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière. « Si un parent n’en met pas, l’enfant va demander ‘Pourquoi tu ne mets pas de casque?’ On veut passer le message par la voix des enfants ».
En 2016, la mortalité routière des cyclistes a augmenté de 7%. « Le casque diminue le risque de blessure sérieuse à la tête de 70%, le risque de blessure mineure de 31% et le risque de blessure au visage de 28% », rappelle la Sécurité routière.
26 enfants tués à vélo ces dernières années
Alors que 5,5 millions d’enfants sont des usagers fréquents ou occasionnels du vélo, la Sécurité routière indique que « l’accidentalité routière des cyclistes âgés de moins de 12 ans concerne 181 enfants en 2015 parmi lesquels 1 enfant a été tué et 170 enfants ont été blessés ». Et entre 2011-2015, « 1.178 enfants de moins de 12 ans ont été impliqués dans un accident de vélo, parmi lesquels 26 enfants ont été tués » et 442 hospitalisés.
Mais pour la Fédération des usagers de la bicyclette, cette mesure n’est « pas la plus pertinente », indique au quotidien son président, Olivier Schneider. « Une véritable mesure de sécurité routière serait de systématiser l’apprentissage de la mobilité vélo à l’école primaire, pour savoir faire du vélo sur la voie publique (…) Ce n’est pas parce qu’on porte un casque qu’on va savoir éviter les accidents. »
Au niveau européen, le port du casque est obligatoire pour tous en Finlande, et pour les enfants dans onze pays.
Nous avons jugé utile de faire reprendre cet article paru dans Le Parisien. Le cycle vélo mené en élémentaire propose un apprentissage des règles de sécurité, et encourage l’agilité et l’effort physique.
L.V
Lors du dernier conseil d’école, un des sujets à l’ordre du jour a interpelé les représentants de parents d’élèves : la présence d’amiante dans les dalles du sol de la maternelle. Sur la proposition du service éducation, nous sommes allées consulter le dossier technique amiante au service technique municipal.
L’amiante est un matériau de construction, largement utilisé pour ses propriétés isolantes, jusqu’à son interdiction en 1997. De 400 à 500 fois moins épaisses qu’un cheveu, les fibres d’amiante sont invisibles dans les poussières de l’atmosphère. Inhalées, elles peuvent se déposer au fond des poumons et provoquer des maladies respiratoires graves. Il s’agit de la deuxième cause de maladies professionnelles en France.
Un cadre réglementaire très strict fixe les dispositions à mettre en œuvre pour :
Après rencontre avec le directeur adjoint des Services Techniques, il apparaît que la municipalité de Colomiers est conforme à la réglementation sur le sujet. Un diagnostic a été produit en 2007 dans tous les bâtiments de la ville. Pour les écoles, le dossier est à la disposition des directeurs.
A l’école Hélène-Boucher, les dalles du sol (mais aussi les poteaux, et le plafond du garage de la maisonnette du gardien = maison de l’ALAE) sont constituées de matière inerte et non friable ; elle n’est pas volatile ; elles ne sont pas dangereuses quand elles sont fendues ou déjà cassées. C’est au moment où elles cassent que de la poussière peut s’échapper, mais une fois cassées, les différents morceaux sont à nouveau inertes et non-dangereux. Les fissures sont aussi non-dangereuses. Le matériau est solide : il ne peut donc pas être endommagé par le frottement de bancs déplacés (pour les parcours sportifs), ou le piétinement. Dans le cadre de travaux plus ambitieux (nécessitant l’usage d’une pioche ou le déplacement d’objet très lourd), il conviendrait de protéger les personnels, comme le code du travail le prévoit.
A la demande de la directrice, un technicien passe remplacer la dalle défectueuse. D’après les rapports du service technique, le sol est en fin de vie. Cette information a été transmise à la direction générale. Une rénovation est souhaitable. Mais les travaux sur la commune font l’objet d’arbitrages. Les travaux de réfection des sols ne sont pas nécessairement liés à l’étude d’un projet global de rénovation du groupe scolaire.
Une mise à jour du diagnostic est prévue en 2017-2018, car la nouvelle réglementation renforce le contrôle des bâtiments concernés et la méthode pour l’enlèvement des produits amiantés. Si des tests s’avéraient nécessaires, ils seront faits en dehors des heures de cours. Les directeurs d’école seront informés.
Nous ne sommes pas satisfaits de la gestion de ce dossier par la municipalité : nous ne pouvons attendre la potentielle rénovation de l’école pour réaliser des travaux. Nous ne pouvons accepter que la responsabilité de la surveillance des dalles incombe aux enseignantes et personnels de l’école. Nous ne pouvons accepter que ces personnes soient exposées à un risque, comme nous n’acceptons pas que les enfants évoluent dans un environnement très dégradé. Par principe de précaution, nous demandons l’enrobage du sol de l’école. Nous demandons le passage en priorité sur l’école de la société chargée du diagnostic, pour évaluer l’état de dégradation générale de l’école. Enfin, nous demandons un planning fixe pour la rénovation globale du groupe scolaire.
Nous allons contacter l’ANDEVA (Association Nationale de Défense des Victimes de l’Amiante) afin d’obtenir plus de précisions sur les dossiers de ce type.
Nous remercions Mme Cadiergues et Mme Moreno, M. Taghema et M. Diot pour leur collaboration.
L’équipe API
En son absence, la direction de l’école est confiée de manière collégiale à Mme Massarelli et aux enseignantes, qui ont réparti les missions. Cette organisation a été validée par l’Inspecteur de circonscription.
Si vous avez une question à adresser, il vous est demandé de contacter l’enseignante de votre enfant.
Les inscriptions des futurs PS seront assurées par Mme Massarelli. Pendant sa décharge, le lundi, elle sera remplacée dans la classe rouge par Mme Alleon, qui assurait jusque-là la décharge de Mme Dehaumont.
Le nom de l’enseignant(e) remplaçant(e) pour la classe bleue ne sera connu que pendant les vacances. Nous le découvrirons donc à la rentrée.
PS rouge: Maïté (remplacée le mardi-matin, pendant sa délégation syndicale)
PS bleue : Tania
MS orange : Sylvie (remplacée le mardi-après-midi, pendant sa délégation syndicale)
MS violette : Marie-Pierre
GS : Rosy
Nous remercions Mme Dehaumont pour ses précisions et sa collaboration, dans un souci de continuité et de transparence vis-à-vis des familles. Nous lui souhaitons un bon repos avant d’entamer une nouvelle vie ! Nous aurons plaisir à la retrouver à la prochaine rentrée, en septembre.
L’équipe API